Write section "Gestion des logs".
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d628557fbe
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@ -298,6 +298,80 @@ checks sur les 8 ont r
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\subsubsection{Saint mode}
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Dans le cas où tous les backends sont HS, il est possible de faire en sorte que
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Varnish utilise sont cache pour répondre aux requêtes (sous réserve bien sûr
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qu'elle y soit). Il est donc possible d'éteindre temporairement son unique
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backend, et que Varnish continu à délivrer son contenu.
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Au niveau de la configuration, cela se configure comme ceci:
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\begin{verbatim}
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sub vcl_fetch {
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if (beresp.status == 500) {
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set beresp.saintmode = 10s;
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restart;
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}
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}
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\end{verbatim}
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Le \texttt{beresp.saintmode} spécifie de ne plus retenter d'interroger le
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backend en cas d'erreur 500 avant un certain temps (ici 10 semonces). En effet,
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autant laisser le backend tranquille, une erreur 500 ne se résolvant rarement
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«magiquement» sans untervention manuelle.
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\subsubsection{Backend de spare}
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Il est également possible de déclarer un backend de spare, qui sera utilisé
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automatiquement (et seulement) si plus aucun backend ne sont disponibles:
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\begin{verbatim}
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backend wwwspare {
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.host = "192.0.2.32";
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.port = "80";
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}
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sub vcl_recv {
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if (!req.backend.healthy) {
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set req.backend = wwwspare;
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}
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}
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\end{verbatim}
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\section{Administration}
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\section{Gestion des logs}
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Varnish permet de loguer de nombreuses informations, notamment très utiles pour
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analyser sont fonctionnement.
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Par défaut, Varnish n'écrit pas ses logs dans un fichier, mais dans un segment
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mémoire, ce qui permet d'augmenter grandement les performances. Quand l'espace
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est plein, Varnish réécrit par dessus en repartant de l'origine, ce qui fait
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que la mémoire allouée pour les logs n'augmente pas.
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Plusieurs outils permet ensuite de récupérer les lignes de log en mémoire, et
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de les exploiter, soit pour les visualiser en direct, soit pour les écrire dans
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un fichier de log.
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L'outil \texttt{varnishtop} permet d'afficher les logs en temps réel:
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\begin{verbatim}
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# varnishtop
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\end{verbatim}
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\texttt{varnishlog} et \texttt{varnishncsa} permettent également de lire le
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segment mémoire dans lequel varnish écrit ces logs, mais ils peuvent également
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écrire ce contenu dans des fichiers, afin d'en conserver une trace. Ils peuvent
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donc être utilisé manuellement, mais des scripts d'init sont fourni pour
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permettre de les lancer au démarrage en mode démon.\\
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\texttt{varnishncsa}, comme son nom l'indique, permet d'avoir les logs d'accès
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HTTP au format NCSA (comme ceux générés par les serveurs web tel que Apache).
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Pour les activer, il faut éditer respectivement les fichiers de configuration
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\texttt{/etc/default/varnishlog} et \texttt{/etc/default/varnishncsa}:
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\begin{verbatim}
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VARNISHLOG_ENABLED=1
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\end{verbatim}
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\begin{verbatim}
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VARNISHNCSA_ENABLED=1
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\end{verbatim}
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Puis lancer les démons:
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\begin{verbatim}
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# /etc/init.d/varnishlog start
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# /etc/init.d/varnishncsa start
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\end{verbatim}
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