Empêcher le brute force
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3e4fe78861
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@ -136,6 +136,34 @@ Ainsi, au maximum 50 000 états pourront être créés pour 192.0.2.10:80 et 192
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Attention, les 2 limites (la globale et celle spécifique à la règle) ne sont pas séparées. Si la limite globale est configuré à 150 000 (`set limit states 150000`) et que 50 000 états sont atteints pour 192.0.2.10:80, alors il ne restera que 100 000 états possible globalement.
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#### Empêcher le brute force
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Il est possible d'empêcher le brute force vers un service particulier.
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Pour cela, la configuration suivante est nécessaire :
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table <bruteforce> persist
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block in quick proto tcp from <bruteforce> to port 2222
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pass in quick on $ext_if proto tcp to port 2222 rdr-to 192.0.2.5 port ssh \
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keep state (max-src-conn 10, max-src-conn-rate 5/30, overload <bruteforce> flush)
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Cette règle signifie que :
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- Une IP peut établir jusqu'à 10 connexion simultanées maximum vers le port 2222 (`max-src-conn 10`).
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- Seules 5 connexions peuvent se faire sur un laps de temps de 30 secondes par une même IP (`max-src-conn-rate 5/30`).
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- Au-delà des 5 connexions échouées durant ces 30 secondes, l'IP en question est insérée dans la table <bruteforce> (`overload <bruteforce>`).
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- Les autres connexions établies par cette même IP sur cette même régle (connexion SSH vers le port 2222) sont tuées (`flush`).
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- L'IP est bannie. Elle peut toujours tenter toute autre connexion, mais ne peut plus tenter de connexion SSH vers le port 2222 (`block in quick proto tcp from <bruteforce> to port 2222`). Cette règle peut être adaptée selon ce que l'on veut bloquer à l'IP bannie.
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La table ne se vide pas avec un rechargement de pf (`pfctl -f /etc/pf.conf`).
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* On peut voir les IPs contenues dans cette table avec `pfctl -t bruteforce -T show`.
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* On peut entièrement vider la table avec `pfctl -t bruteforce -T flush`.
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* On peut lever une IP spécifique de la table avec `pfctl -t bruteforce -T delete X.X.X.X`.
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#### Routage particulier (avec route-to)
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Pour avoir un routage spécifique, i.e. différent de celui donné par la table de
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