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Howto MongoDB |
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- Documentation (2.4) : https://docs.mongodb.com/v2.4/
- Référence de configuration (2.4) : https://docs.mongodb.com/v2.4/reference/configuration-options/
- Documentation (3.4) : https://docs.mongodb.com/manual/
- Référence de configuration (3.4) : https://docs.mongodb.com/manual/reference/configuration-options/
Installation
Paquet Debian stable
C'est la verison 2.4 qui est disponible dans les paquets stables de Debian :
# aptitude install mongodb
Paquet de 10Gen
L'éditeur de MongoDB fourni des paquets pour Debian, depuis leur dépôt. La version 3.4 est disponible.
# apt-key adv --keyserver hkp://keyserver.ubuntu.com:80 --recv 0C49F3730359A14518585931BC711F9BA15703C6
# echo "deb http://repo.mongodb.org/apt/debian wheezy/mongodb-org/3.4 main" >> /etc/apt/sources.list.d/mongodb.list
Puis :
# apt install mongodb-org
Tous les détails sont disponibles sur https://docs.mongodb.com/manual/tutorial/install-mongodb-on-debian/.
Logrotate
3.4
Les paquets fournis par 10Gen n'ont pas de logrotate !
On peut simplement ajouter cette configuration dans /etc/logrotate.d/mongodb
/var/log/mongod.log {
daily
missingok
rotate 365
dateext
compress
delaycompress
notifempty
sharedscripts
postrotate
kill -0 $(cat /var/lib/mongodb/mongod.lock) && kill -USR1 $(cat /var/lib/mongodb/mongod.lock)
endscript
}
Il faut aussi penser à modifier la configuration (/etc/mongod.conf
) pour forcer le mode reopen :
systemLog:
destination: file
logRotate: reopen
logAppend: true
path: /var/log/mongod.log
Il y a tout un chapitre (pas toujours très clair) sur la maière de gérer la rotation de logs : https://docs.mongodb.com/manual/reference/command/logRotate/.
Note
: Attention, mongodb-org-server 2.4 génère des logs mongodb.log* mais en 3.2 des logs mongod.log*
Note
: Attention, par défaut mongodb log les requêtes lentes de plus de 100ms. Ça peut générer beaucoup de logs… On pourra les modifier avec slowOpThresholdMs.
Configuration
2.4
La configuration de MongoDB se trouve dans le fichier /etc/mongodb.conf
:
bind_ip = 127.0.0.1
port = 27017
auth = true
#cpu = true
#verbose = true
#slowms = 42
ATTENTION : la configuration de MongoDB est très spéciale… si vous voulez désactiver les logs verbose par exemple, il ne faut pas faire verbose # false car verbose NIMPORTEQUOI active les logs verbeux !! Il faut donc se méfier et suivre la documentation à la lettre…
3.4
La configuration de MongoDB se trouve dans le fichier /etc/mongod.conf
et le format a changé.
Authentification
2.4
https://docs.mongodb.com/v2.4/core/security-introduction/
MongoDB a deux modes de fonctionnement pour l'authentification :
- Un mode sans aucune authentification
- Un mode avec authentification
Info : activer l'authentification génère des logs à chaque requête d'authentification qu'il n'est pas possible de désactiver avant la version 2.8 : voir https://jira.mongodb.org/browse/SERVER-5952
Mode sans aucune authentification
La configuration sans authentification se fait ainsi :
noauth = true
Dans ce mode, il n'y a besoin d'aucun login / mot de passe pour accéder à l'ensemble des dbs, données, etc. Ce mode est donc assez dangereux : il faut s'assurer que seuls des programmes de confiance accèdent au port TCP de MongoDB.
Mode avec authentification
ATTENTION, ce mode doit être correctement configuré (ce qui n'est pas le cas par défaut).
La configuration doit donc être ainsi :
auth = true
Mais surtout, il faut créer (au moins) un utilisateur "admin" :
$ mongo
> use admin
> db.addUser("mongoadmin", "PASS")
{
"user" : "mongoadmin",
"readOnly" : false,
"pwd" : "3882eaa67064707a7a6ae872504f310d"
}
> db.system.users.find()
{ "_id" : ObjectId("4e8e132c76a7c48c75393b81"), "user" : "mongoadmin", "readOnly" : false, "pwd" : "3882eaa67064707a7a6ae872504f310d" }
C'est seulement une fois ce premier utilisateur "admin" créé que l'authentication est activée !! Si il n'est pas créé, l'authentification reste inactive...
On peut ensuite se connecter à la base "admin" ainsi :
$ mongo admin -u mongoadmin -p PASS
Pour les accès aux base, les utilisateurs sont stockés dans la collection system.users propre à chaque base. Ainsi pour créer un utilisateur pour une base données :
> use mydb
> db.addUser("foo","PASS");
Les utilisateurs (admin ou associés à une base de données) peuvent n'avoir qu'un accès read-only si ils sont créés ainsi :
> db.addUser("foo","PASS",true);
Enfin, pour supprimer un utilisateur :
> use mydb
> db.removeUser("foo");
3.4
https://docs.mongodb.com/manual/security/
Utilisation
En ligne de commande :
$ mongo
MongoDB shell version: 1.4.4
url: test
connecting to: test
type "help" for help
Voici les opérations de base :
> show dbs
admin
local
test
> use foo
switched to db foo
> show collections
> db.bar.find()
> db.bar.save( { a : 1 } )
> db.bar.save( { a : 2 } )
> show collections
bar
system.indexes
> db.bar.find()
{ "_id" : ObjectId("4e64dbf619a27977131978ad"), "a" : 1 }
{ "_id" : ObjectId("4e64dbf919a27977131978ae"), "a" : 2 }
> db.foo.find({a:1})
{ "_id" : ObjectId("4e0674a47888d8941034f4e1"), "a" : 1 }
> db.foo.find().limit(1)
{ "_id" : ObjectId("4e0674a47888d8941034f4e1"), "a" : 1 }
> exit
bye
Quelques commandes utiles :
Voir le compteur des connexions :
db.serverStatus().connections
Modifier un champ d'un objet existant :
> db.bar.save( { a : 4, b : 0 } )
> db.bar.update( { "_id" : ObjectId("4e64de8a19a27977131978b0") } , { $set : {b:1} } )
> db.bar.update( { "_id" : ObjectId("4e64de8a19a27977131978b0") } , { $unset : {b:1} } )
Voir uniquement certains champs :
> db.bar.find({a:1},{flip:1})
> db.bar.find({a:1},{flip:1,flap:1})
Voir plus d'objets (en évitant le has more) :
> DBQuery.shellBatchSize = 100
> db.foo.find()
Requête sur des dates :
db.foo.find( { "date": {"$gte": ISODate("2011-12-05T00:21:00Z")} } )
db.foo.find( { "date": {"$lt": ISODate("2011-12-05T04:00:00Z")} } )
db.foo.find( { "date": {"$gte": ISODate("2011-12-05T00:21:00Z"), "$lt": ISODate("2011-12-05T04:00:00Z")} } )
En PHP :
$m = new Mongo();
$db = $m->foo;
$bar = $db->bar;
$bar->insert(array("a"=>"1","a"=>"2"));
$res = $bar->find();
foreach ($res as $obj) {
echo $obj["a"] . "\n";
}
Sauvegarde
2.4
https://docs.mongodb.com/v2.4/core/backups/
# mkdir /home/backup/mongodump
# cd /home/backup/mongodump
# mongodump
3.4
Il exise plus de possibilités de sauvegarde dans les versions récentes : https://docs.mongodb.com/manual/core/backups/
Réplication avec replica set
La réplication avec "replica set" nécessite au moins 3 machines : en effet, il va y avoir une élection du master vers lequel seront faites toutes les écritures.
En Version 3.2+
Si vos mongod ne sont pas sur un LAN il est recommandé de mettre en place du TLS avec https://docs.mongodb.com/manual/tutorial/configure-x509-member-authentication/. Sinon on pourra utiliser un keyfile https://docs.mongodb.com/manual/tutorial/deploy-replica-set-with-keyfile-access-control/
/!\ Le datadir doit être vierge.
Avec keyfile
Créer le keyfile sur une machine et déployer sur les autres le même fichier.
# openssl rand -base64 755 > /etc/mongod.key
# chmod 400 /etc/mongod.key
# chown mongodb: /etc/mongod.key
Modifier la configuration :
security:
keyFile: /etc/mongod.key
replication:
replSetName: rs0
Redémarrer les mongod.
# systemctl restart mongod
Se connecter et initialiser le RS.
# mongo
> rs.initiate(
{
_id : "rs0",
members: [
{ _id : 0, host : "mongo1.example.net:27017" },
{ _id : 1, host : "mongo2.example.net:27017" },
{ _id : 2, host : "mongo3.example.net:27017" }
]
}
)
Se connecter au master (voir avec rs.Status()) et créer un utilisateur admin et clusterAdmin.
# mongo
> use admin
use admin
db.createUser(
{
user: "myUserAdmin",
pwd: "abc123",
roles: [ { role: "userAdminAnyDatabase", db: "admin" } ]
}
)
db.createUser(
{
"user" : "clusteradmin",
"pwd" : "abc123",
roles: [ { "role" : "clusterAdmin", "db" : "admin" } ]
}
)
Le Replica Set est maintenant en place.
Avec X.509
TODO
En version 1.8
Soit trois machines de test avec MongoDB 1.8.2 : mongo1 (PRIMARY), mongo2 (SECONDARY), mongo3 (SECONDARY)
Activer le paramètre suivant dans /etc/mongodb.conf :
# in replica set configuration, specify the name of the replica set
replSet = foo
# Enable journaling (recommended for replica set)
journal = true
À ce stade, on ne peut rien écrire sur les serveurs :
> db.test.insert({"coin": "coin"})
not master
> rs.status()
{
"startupStatus" : 3,
"info" : "run rs.initiate(...) if not yet done for the set",
"errmsg" : "can't get local.system.replset config from self or any seed (EMPTYCONFIG)",
"ok" : 0
}
Réinitialiser les bases sur chaque machine (attention, opération destructrice !) :
/etc/init.d/mongodb stop && mv /var/lib/mongodb/* /tmp && /etc/init.d/mongodb start
Sur mongo1 (PRIMARY)
Il faut ensuite s'assurer que :
- les machines communiquent bien au niveau réseau en TCP/27017
- que les machines n'ont pas de NAT (ou alors il faudra utiliser des DNS)
Puis on initialise la réplication via le mongo shell :
> config = {_id: 'foo' , members: [ {_id: 0, host: '1.2.3.4:27017'},{_id: 1, host: '1.2.3.5:27017'},{_id: 2, host: '1.2.3.6:27017'}]}
> rs.initiate(config);
{
"info" : "Config now saved locally. Should come online in about a minute.",
"ok" : 1
}
> rs.help()
On peut aussi le faire étape par étape
> rs.initiate()
{
"info2" : "no configuration explicitly specified -- making one",
"info" : "Config now saved locally. Should come online in about a minute.",
"ok" : 1
}
Ajout des 2 SECONDARY :
setname:PRIMARY> rs.add("mongo2")
{ "ok" : 1 }
setname:PRIMARY> rs.add("mongo3")
{ "ok" : 1 }
Consultation de l'état de la réplication sur le master :
setname:PRIMARY> rs.status()
{
"set" : "setname",
"date" : ISODate("2011-08-09T15:42:54Z"),
"myState" : 1,
"members" : [
{
"_id" : 0,
"name" : "mongo1",
"health" : 1,
"state" : 1,
"stateStr" : "PRIMARY",
"optime" : {
"t" : 1312904495000,
"i" : 1
},
"optimeDate" : ISODate("2011-08-09T15:41:35Z"),
"self" : true
},
{
"_id" : 1,
"name" : "mongo2",
"health" : 1,
"state" : 2,
"stateStr" : "SECONDARY",
"uptime" : 76,
"optime" : {
"t" : 1312904495000,
"i" : 1
},
"optimeDate" : ISODate("2011-08-09T15:41:35Z"),
"lastHeartbeat" : ISODate("2011-08-09T15:42:54Z")
},
{
"_id" : 2,
"name" : "mongo3",
"health" : 1,
"state" : 2,
"stateStr" : "SECONDARY",
"uptime" : 70,
"optime" : {
"t" : 1312904495000,
"i" : 1
},
"optimeDate" : ISODate("2011-08-09T15:41:35Z"),
"lastHeartbeat" : ISODate("2011-08-09T15:42:54Z")
}
],
"ok" : 1
}
Sur un slave :
SECONDARY> db.printReplicationInfo()
this is a slave, printing slave replication info.
source: 92.243.5.219:27017
syncedTo: Sun Jan 29 2012 22:34:07 GMT+0100 (CET)
= 5744 secs ago (1.6hrs)
source: stampzz-prod01.evolix.net:27017
syncedTo: Mon Jan 30 2012 00:09:47 GMT+0100 (CET)
= 4 secs ago (0hrs)
SECONDARY> use local
switched to db local
SECONDARY> db.oplog.rs.stats()
{
"ns" : "local.oplog.rs",
"count" : 9616448,
"size" : 1166277368,
"avgObjSize" : 121.27943373686418,
"storageSize" : 1320140800,
"numExtents" : 1,
"nindexes" : 0,
"lastExtentSize" : 1320140800,
"paddingFactor" : 1,
"flags" : 0,
"totalIndexSize" : 0,
"indexSizes" : {
},
"capped" : 1,
"max" : 2147483647,
"ok" : 1
}
Création d'un enregistrement de test :
setname:PRIMARY> db.foo.save({a:1})
setname:PRIMARY>
Sur mongo2 ou mongo3 (SECONDARY)
Autorise le SECONDARY à traiter des requêtes :
setname:SECONDARY> rs.slaveOk()
Vérification de la présence de l'enregistrement de test :
setname:SECONDARY> db.foo.find()
{ "_id" : ObjectId("4e41558da08ccc36090745be"), "a" : 1 }
Sortir un mongo de la réplication
Voici les étapes pour sortir un mongo de la réplication :
- Sauvegarder (mongodump)
- Stopper MongoDB
- Sauvegarder les datas
- Supprimer les fichiers local.*
- Désactiver les replica dans la configuration
- Relancer MongoDB
Resynchroniser un mongo slave
En cas de soucis, il peut être nécessaire de resynchroniser complètement un serveur MongoDB par rapport à un master. Il suffit de supprimer complètement le dbpath :
# /etc/init.d/monogdb stop
# mv /var/lib/mongodb /var/lib/mongodb.old
# mkdir /var/lib/mongodb
# chown mongodb:mongodb /var/lib/mongodb
# chmod 750 /var/lib/mongodb
# /etc/init.d/monogdb start
Le serveur slave repassera en RECOVERING puis en SECONDARY :
RECOVERING> db.printReplicationInfo()
this is a slave, printing slave replication info.
source: master.example.com:27017
syncedTo: Thu Jan 01 1970 01:00:00 GMT+0100 (CET)
= 1327878874 secs ago (368855.24hrs)
source: otherslave.example.com:27017
syncedTo: Mon Jan 30 2012 00:14:09 GMT+0100 (CET)
= 25 secs ago (0.01hrs)
SECONDARY> db.printReplicationInfo()
configured oplog size: 1025.1384765625MB
log length start to end: 741secs (0.21hrs)
oplog first event time: Mon Jan 30 2012 00:14:09 GMT+0100 (CET)
oplog last event time: Mon Jan 30 2012 00:26:30 GMT+0100 (CET)
now: Mon Jan 30 2012 00:27:26 GMT+0100 (CET)
Erreurs de synchronisation
En cas d'erreur du type :
"optimeDate" : ISODate("2012-01-29T21:34:07Z"),
"lastHeartbeat" : ISODate("2012-01-29T23:02:43Z"),
"pingMs" : 11,
"errmsg" : "syncTail: 0 assertion db/pdfile.cpp:1881, syncing: { ts: Timestamp 1327872847000|109, h: -1582883220170752094, op: \"i\", ns: \"DB_MONGODB.tmp.mr.COLL_MONGODB_396779\", o: { _id: \"#colorsplash\", value: 1.0 } }"
Côté slave, on a plus de détails :
[rsSync] replHandshake res not: 1 res: { ok: 1.0 }
[rsSync] local.oplog.rs Assertion failure !loc.isNull() db/pdfile.cpp 1881
0x57eeb6 0x589d6b 0x8a2746 0x82f486 0x821d8d 0x8231d8 0x82439a 0x824820 0xaa4560 0x7f1a33ef08ba 0x7f1a334ac02d
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo12sayDbContextEPKc+0x96) [0x57eeb6]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo8assertedEPKcS1_j+0xfb) [0x589d6b]
/usr/bin/mongod() [0x8a2746]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo11_logOpObjRSERKNS_7BSONObjE+0x236) [0x82f486]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo11ReplSetImpl8syncTailEv+0xced) [0x821d8d]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo11ReplSetImpl11_syncThreadEv+0xc8) [0x8231d8]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo11ReplSetImpl10syncThreadEv+0x4a) [0x82439a]
/usr/bin/mongod(_ZN5mongo15startSyncThreadEv+0xa0) [0x824820]
/usr/bin/mongod(thread_proxy+0x80) [0xaa4560]
/lib/libpthread.so.0(+0x68ba) [0x7f1a33ef08ba]
/lib/libc.so.6(clone+0x6d) [0x7f1a334ac02d]
[rsSync] replSet syncTail: 0 assertion db/pdfile.cpp:1881, syncing: { ts: Timestamp 1327872847000|109, h: -1582883220170752094, op: "i", ns: "DB_MONGODB.tmp.mr.COLL_MONGODB_396779", o: { _id: "#colorsplash", value: 1.0 } }
Cela semble être une corruption de la base côté slave... L'une des solutions consiste à resynchroniser complètement la base (voir plus haut).
Forcer à changer de master
> rs.stepDown()
/!\ à ne faire que si les slaves sont synchros sous peine d'avoir un état rollback & ennuis...
Etat ROLLBACK
Master devient indispo alors que les slaves n'était pas 100% synchro
http://www.mongodb.org/display/DOCS/Replica+Sets+-+Rollbacks http://dba.stackexchange.com/questions/18020/mongodb-replica-set-secondary-stuck-in-rollback-state http://comerford.cc/2012/05/28/simulating-rollback-on-mongodb/ http://comments.gmane.org/gmane.comp.db.mongodb.user/78137
ROLLBACK -> RECOVERY -> SECONDARY.. ou #FAIL avec Error RS102
http://www.mongodb.org/display/DOCS/Resyncing+a+Very+Stale+Replica+Set+Member
replicaset lag
http://docs.mongodb.org/manual/administration/replica-sets/#replica-set-replication-lag http://metabroadcast.com/blog/mongodb-replication-lag-and-the-road-to-recovery
Réparer la base de données en cas de crash
Plusieurs méthodes selon cas.
- Si la journalisation est activé, ce qui est le cas par défaut pour les version >1.9.2 et en 64 bits. MongoDB devrait automatiquement se servir des fichiers journaux, regardez si tout se passe bien dans les logs. Si malheureusement ce message apparaît :
old lock file: mongod.lock. probably means unclean shutdown,
but there are no journal files to recover.
Il faut vérifier que le système de fichier est OK !
- Si la journalisation n'est pas activé.
Supprimez le verrou et démarrer mongodb avec l'option pour lancer une réparation.
rm /var/lib/mongodb/mongod.lock
mongod --dbpath /var/lib/mongodb/ --repairpath /tmp --repair
Vérifiez les droits du dbpath !
chown -R mongodb:mongodb /var/lib/mongodb
Démarrez mongodb, lancez un mongo shell et lancer une réparation de toutes les base de données.
db.repairDatabase();
Mise à jour
1.8 vers 2.0
Voici la procédure pour passer en Mongo 2.0 (version sortie en sept/oct 2011) :
# aptitude update
# aptitude install mongodb-10gen
La version 2.0 active désormais par défaut la journalisation. Vous pouvez donc remplacer dans votre configuration :
journal = true
par :
# Disables write-ahead journaling
# nojournal = true
Il faut également mettre-à-jour ses indexes ! On le fera via le mongo shell :
> use foo
> db.bar.getIndexes()
[
{
"key" : {
"_id" : 1
},
"ns" : "foo.bar",
"name" : "_id_",
"v" : 0
}
]
Le * "v" : 0 * signifie que l'index n'est pas à jour.
> db.runCommand({compact : 'bar'})
{ "ok" : 1 }
> db.bar.getIndexes()
[
{
"v" : 1,
"key" : {
"_id" : 1
},
"ns" : "foo.bar",
"name" : "_id_"
}
]
Répéter l'opération pour toutes les collections ayant des indexes !
CAPPED
http://www.mongodb.org/display/DOCS/Capped+Collections
Monitoring avec MMS
MMS (MongoDB Monitoring Service) est une service fourni gratuitement par 10gen. Déprécié, maintenant c'est payant et ça s'apelle MongoDB Cloud Manager
Installation
Créer un compte sur mms.10gen.com, créer un groupe et télécharger l'archive (qui contient déjà la clé API du groupe).
La décompresser dans un dossier (et donner les droits mongodb).
cd /opt
tar zxvf 10gen*.tar.gz
chown -R mongodb:mongodb mms-agent
Installer python-bson et python-pymongo (via backports).
/etc/apt/preferences:
Package: python-pymongo
Pin: release a=squeeze-backports
Pin-Priority: 999
Le lancer via le compte mongodb:
sudo -u mongodb nohup python /opt/mms-agent/agent.py > /var/log/mongodb/agent.log 2>&1 &
Monitoring avec Munin
Créer un accès
use admin
db.createUser(
{
user: "monitoring",
pwd: "XXX",
roles: [ "clusterMonitor" ]
}
)
Plugin mongo-munin
https://github.com/comerford/mongo-munin
# git clone <https://github.com/comerford/mongo-munin.git> /tmp/mongo-munin
# mkdir -p /usr/local/share/munin/plugins
# cp /tmp/mongo-munin/mongo_* /usr/local/share/munin/plugins
# cd /etc/munin/plugins/
# ln -s /usr/local/share/munin/plugins/mongo_*
# chmod -R u=rwX,g=rwX,o=rX /usr/local/share/munin/
/etc/munin/plugin-conf.d/mongo
[mongo_*]
env.MONGO_DB_URI mongodb://monitoring:XXX@localhost:27017/admin